Priscilla-Oswin
Soutien C :
- Oswin : Lady Priscilla ? Pardonnez mes manières, mais êtes-vous Lady Priscilla, de la maison de Cornwell ?
- Priscilla : Et vous, qui êtes-vous ?
- Oswin : Pardonnez-moi, milady. Je suis Oswin, de la chevalerie d'Ositia. Je combats dans cette armée, aux côtés d'Hector.
- Priscilla : Comment connaissez-vous mon identité ?
-
Oswin : Voilà bien des années, j'étais parti en mission à Cornwell avec
d'autres chevaliers. Je vous ai vue maintes fois pendant mon séjour.
- Priscilla : Vraiment ? Dans ce cas, je vous dois des excuses.
-
Oswin : Non, madame. Vous étiez trop jeune pour vous souvenir. Vous
vous teniez à côté du marquis, toujours à tirer la manche de votre
frère. Vous deux, vous étiez vraiment inséparables !
- Priscilla : Vraiment ? Peut-être qu'à l'époque, nous étions plus soudés...
Soutien B :
- Oswin : Vous a-t-on informée de ce qui est arrivé à la maison de Cornwell ?
-
Priscilla : Oui. Elle a été accusée d'avoir détourné les fonds de la
fédération. Le conseil fédéral lui a retiré son autorité et a relevé
tous ses pairs de leurs fonctions.
- Oswin : Oui. C'est exact.
-
Priscilla : Ma vraie famille m'a abandonnée. Elle a aussi abandonné son
château. Nul ne sait où elle est allée. Je ne devrais pas vous poser
cette question... mais... vous semblez être un chevalier digne de
confiance. Je peux vous le demander.
- Oswin : Je suis trop fier pour mentir, milady. Que voulez-vous savoir ?
-
Priscilla : Les membres de la maison de Cornwell sont-ils vraiment des
voleurs ? Jurez sur votre honneur ! Y a-t-il une chance pour qu'on les
ait accusés à tort ?
- Oswin : Lady Priscilla... J'aimerais tant pouvoir démontrer la fausseté de ces accusations, mais...
-
Priscilla : Je vois. (elle ferme les yeux) Il doit y avoir des
preuves... Permettez-moi une autre question. Savez-vous où est mon père
?
- Oswin : Oui... je le sais.
- Priscilla (elle ouvre les yeux) : Vraiment ? Où est-il !?
- Oswin : ...
- Priscilla : Lord Oswin ! Pitié, je dois savoir !
Soutien A :
- Oswin : Lady Priscilla...
- Priscilla : ...
- Oswin : Pardonnez-moi.
- Priscilla : Pourquoi vous excusez-vous ?
- Oswin : Je n'aurais rien dû vous dire sur vos parents.
-
Priscilla : Dépouillés de leurs titres nobiliaires... ma mère et mon
père ont mis fin à leurs jours. Vous avez simplement répondu à ma
question. Lord Oswin, ne vous sentez pas coupable.
- Oswin : ...
-
Priscilla : Mais... je voulais demander quelque chose à mon père. Je
voulais lui demander pour quelle raison il avait volé cet argent.
-
Oswin : Mon maître, Uther d'Ositia, a mené son enquête. Il m'a confié
certains détails. Ces dernières années, la fortune de Cornwell avait
tendance à décliner. Le marquis de Cornwell, par gentillesse, a porté
sur ses épaules, les dettes de nombreux proches. Dépassé par ses
propres dettes, les loups sont sortis.
- Priscilla : Mais... si ce
n'était qu'une question d'argent, pourquoi n'en ont-ils pas demandé à
ma famille adoptive, les Caerleons ?
- Oswin : Le montant qu'ils ont
volé excédait largement le montant de la dette. Vos parents ne
voulaient pas impliquer la fille dont il venaient de se séparer.
- Priscilla (elle ferme les yeux) : Père... Mère...
- Oswin : ...
- Priscilla : Lord Oswin... Je... Je vais bien... Vous n'êtes pas obligé de rester auprès de moi, loin de vos devoirs.
-
Oswin : J'ai l'autorisation de Lord Hector. Je regrette le mal
qu'Ositia a fait à la maison de Cornwell. Le marquis a commis un crime
très grave. Mais l'acte le plus abominable fut la publication de cet
ordre qui causa tant de souffrances. S'il était encore en vie, bien des
désastres auraient peut-être pu être évités.
- Priscilla : Hélas, on
ne peut pas ressusciter les morts. Mais tant que je vivrai, je me
souviendrai que vous et Ositia avez été justes et honnêtes...
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