Nino et Canas

Soutien C :
- Nino : Oh, bonjour, Canas !
- Canas : Bonjour. Vous êtes la petite Nino, n'est-ce pas ?
- Nino : Oui, c'est bien moi. Qu'est-ce que vous lisez ?
- Canas : Oh, oui... Il s'agit de "Roland le héros".
- Nino : Qui est ce Roland ?
- Canas : Roland est l'un des héros qui ont jadis combattu les dragons, voilà environ mille ans.
- Nino : Mm... Ce livre a l'air captivant. Ca me donne envie de le lire.
- Canas : Vous voulez le lire ? Nino... Je suis si heureux de vous avoir avec moi dans ce groupe !
- Nino : Vraiment ?
- Canas : Les livres nous transportent dans des endroits inexplorés et enchanteurs... Je suis sûr que nous allons devenir de très bons amis... Sniff...
- Nino : Ne pleurez pas...
- Canas (il s'approche) : S'il vous plaît, prenez ce livre ! Et si d'autres vous intéresssent, vous pouvez les emprunter !
- Nino : Mais, euh... Je suis désolée. En fait, je ne sais pas... Je ne sais pas lire. On ne m'a jamais enseigné les lettres.
- Canas : Oh, je vois. Dans ce cas, je vais vous apprendre !
- Nino : Vous êtes serieux !? Mais, je ne voudrais pas ralentir la progression de vos recherches...
- Canas : Ne vous en faites pas. L'enseignement ouvre l'esprit de l'élève, mais aussi celui du maître. Je vais vous apprendre tout ce que je sais !
- Nino : Merci !

Soutien B :
- Nino : Canas !
- Canas : Ah... Nino. Vous avez bonne mine aujourd'hui. Comment avez-vous trouvé le livre que je vous ai prêté ?
- Nino : Oh, grandiose ! Je commence à développer une passion pour ces tomes ! J'ai même appris à écrire le mot "Feu" !
- Canas : Ah, la magie anima est une chose merveilleuse... Sa structure magique complexe et ses principes théoriques raffinés sont d'une élégance remarquable.
- Nino : Vous trouvez ?
- Canas : Ma femme et moi, nous sommes, comme vous, des magiciens. Quand j'ouvre les tomes de ma femme, mon coeur s'emballe et s'illumine... Anima est la magie de la nature. Cette symbiose entre l'esprit et la matière libère le coeur. La magie nous rend libres. La magie ancienne que j'utilise nécessite des ressources considérables pour maîtriser ses forces.
- Nino : Oui, je crois comprendre. Parfois, vous prenez un air terrifiant quand vous utilisez votre magie...
- Canas : Quand je montre les tomes obscurs à mon fils, il prend peur et il se met à pleurer. peut-être que notre ancien lignage de mages obscurs se terminera avec moi... Ma mère a eu recours à tous les sorts qu'elle connaissait pour préparer l'enfant, mais rien n'a marché.
- Nino : Etrange... Et quel âge a-t-il ?
- Canas : Il va avoir deux ans cette année.
- Nino : Comment !? Il n'a même pas deux ans ! Que croyiez-vous ? J'ai 14 ans et je ne sais toujours pas lire !
- Canas : Mm, peut-être que vous avez raison. Je crois que ma mère trop fait pression sur moi lorsque j'étais enfant... Mais tout le monde dans la famille a été élevé de cette façon, et il me semble que cette éducation a porté ses fruits, pour nous tous...
- Nino : J'espère que vous plaisantez ! Dites-lui d'arrêter tout de suite !
- Canas : Oh, d'accord. Mais je suis encore en quête de savoir. Je n'ai toujours pas trouvé ce que je cherche. Il est trop tôt pour que je rentre chez moi...
- Nino : Canas !
- Canas : Oui ?
- Nino : Est-ce bien raisonnable d'errer loin de chez vous quand votre fils vous attend ? Il a besoin de vous !
- Canas : Oh... J'ai si honte.

Soutien A :
- Nino : Canas ! Laissez-moi vous présenter ma famille. Ouvrez ce pendentif.
- Canas : D'accord... Qui est-ce ?
- Nino : Ce sont mes parents. Au milieu, c'est moi. Et là, c'est mon frère jumeau.
- Canas : Quelle belle famille !
- Nino : Oui. Et leurs noms sont gravés ici, vous voyez ? Mon père s'appelait Judge, et Iris était le nom de ma mère. Et Kai était le prénom de mon frère. Grâce à vous, je connais leurs noms maintenant.
- Canas : Très bien. Mais, votre mère Iris... Comme c'est intéressant...
- Nino : Qu'y-a-t-il ?
- Canas : Eh bien, ma femme avait une soeur qui s'appelait Iris. Hélas, elle est décédée...
- Nino : Vraiment ? Vous ne pensez pas que...
- Canas : Qui sait, Nino, vous êtes peut-être ma nièce !
- Nino : La soeur de maman... Vous seriez mon oncle ?
- Canas : C'est une hypothèse plausible. Mais c'est peut-être aussi une simple coïncidence.
- Nino : J'espère quece n'est pas une coïncidence. Parce que, Canas, vous êtes quelqu'un de bien. Vous êtes gentil et chaleureux, comme mon vrai père.
- Canas : Et je serais heureux d'avoir pour nièce une jeune fille aussi studieuse que vous. Cela serait merveilleux !